La journée est belle et ensoleillée. Douceur printanière de rigueur, les vêtements se font plus légers, les robes sortent des armoires, les jambes se mettent à nu. Les sourires et la bonne humeur également.
Elle décide d'aller se promener au château, lieu plein de charme avec ses ruines, ses animaux et les fleurs qui poussent leur premier feuillage.
Il y a un peu de monde, sur la hauteur de la ville, le vent souffle un peu, l'air est plus frais qu'elle ne l'aurait cru. Elle serre un peu son gilet et reste les bras croisés sous sa poitrine qu'elle a un peu découverte en partant. Elle s'accoude aux remparts et admire la ville, sa ville. Elle oublie les soucis, souris de nouveau à la vie. Elle entend des pas feutrés près d'elle et ne prête pas attention, elle n'est pas curieuse et surtout, chacun est libre d'admirer le paysage. Un parfum qu'elle connaît chatouille ses narines, tourne la tête. Il est là !! Il ll lui sourit, un bonjour chaleureux, les yeux amusés. Elle ne pensait pas le voir là, surtout à cette heure de la journée !! Machinalement, elle répond à son bonjour et n'a qu'une envie, s'enfuir, s'enfuir loin de cet endroit !!!
Il pose sa main sur son dos, le caresse légèrement et lui chuchote à l'oreille qu'il est heureux, que c'est une bonne surprise. Ses jambes ne la portent plus, cette main sur elle.. main qu'elle ne veut plus, main tentatrice !!! Sans préambule, comme à son habitude, il lui dit qu'il a envie d'elle, qu'il aime la voir en robe, qu'il voit qu'elle a un peu froid. Il se presse contre elle maintenant et, effectivement, elle sent son membre contre elle. Il se presse un peu plus.. Elle sourit malgré elle, tourne un peu la tête, croise de nouveau son regard. Sa bouche s'approche dangereusement de la sienne.. reculer, éviter le contact... le bon sens lui crie de le faire seulement... son corps s'y refuse. Il l'embrasse comme il ne l'avait encore jamais fait. Un baiser plein de fougue et de douceur à la fois. Elle succombe, encore une fois. Viens, tu sais que je connais cet endroit comme ma poche, que j'y passe beaucoup de temps, viens..
D'autorité, il prend sa main et l'entraîne. Elle ne parle toujours pas, frissonne et elle sait que ce n'est pas de froid. Ils se dirigent vers une ancienne tour où jamais elle ne se serait aventurée seule, les escaliers ne sont pas solides, ils sont étroits et sombres. Peu de personnes s'y aventurent. Arrivés en haut, il y a un petit parterre d'herbe et un muret qui arrive à mi-hauteur d'homme. Il la retient par la taille et la plaque au mur. Ses mains s'emparent de son décolleté, le dégage et il se met à téter ses seins avec gourmandise. Il lève un instant ses yeux bleus, elle y lit le regard du vainqueur, heureux d'avoir une fois encore réussi à la prendre dans ses filets. Il descend un peu et soulève sa robe, admire la petite culotte de dentelle blanche, siffle et la descend. Tu ne l'auras plus, elle est à moi et tu rentreras cul-nu chez toi !
MartyWha@20190226
Retour au menu Cliquez ici. . Quitter le site ici